• Pour pas mal de raisons (copinage, manque de recul et de tests, diversité des goûts, etc.), je ne suis pas un grand, grand fan des chroniques de jeu ou de supplément. Il arrive toutefois que j'en commette une ou deux pour le Fix de temps en temps. Et comme c'est un sacré événement, je ne peux m'empêcher de les rediffuser quelques temps après ;-)

     

    Pour débuter la chronique de ce nouveau Barbarians of Lemuria, un petit avertissement liminaire : c’est une nouvelle édition (dite « mythic ») mais ce n’est pas « vraiment » une v2. Le jeu de Simon Washbourne a en effet déjà connu une VF en 2009 sous l’égide des Livres de l’ours, le label de Kobayashi. A cette époque, le jeu était disponible en PDF et POD dans une édition courte (moins de 100 pages) illustrée par un certain Le Grümph. On a alors envie de dire : qu’a-t-il bien pu passer par la tête de la boutique en ligne Ludospherik pour nous resservir aujourd’hui ce même plat ? Ça ne sentirait pas un peu le réchauffé ? Hein ?

    On se rend compte très vite que, loin du réchauffage minute au micro-ondes, on est en présence d’une toute nouvelle recette concoctée avec amour. Cette version 2016 de BoL se présente sous la forme d’un magnifique bouquin de plus de 200 pages grand format dont on a méticuleusement refait toutes les illustrations. Visiblement, ce n’est pas un accident : les choses ont été faites en grand dans l’objectif de ressortir ce jeu des oubliettes où les hypes successives de jeux courts pensés pour faire du medfan les doigts dans le nez (LE créneau originel de BoL) avaient fini par le précipiter.

    De fait, BoL présente un système de jeu assez simple mais tout à fait charmant qui fait la synthèse harmonieuse de différentes influences allant du rétroclone OSR jusqu’aux jeux modernes à narration partagée. La base du système est on ne peut plus claire. Pour réaliser une action, un joueur lance quelques D6 dont il garde seulement deux résultats : soit les deux meilleurs si les circonstances sont favorables à son PJ, soit les deux moins bons si son alter ego est dans la mouise. Le résultat retenu est alors comparé à un seuil de réussite fixe. Pour savoir si le PJ possède des avantages ad hoc, BoL se passe totalement de listes de compétences, misant tout sur un système de carrières qui, chacune, représente tout un panel de savoirs ou de savoir-faire (le marchand sait marchander, évaluer et atteler un chariot, le soldat sait meuler la gueule des gens et jouer aux cartes, le consultant en consulting ne sait rien faire d’utile, etc.). Simple et de bon goût.

    La monotonie que pourrait engendrer un tel dépouillement est brisée par l’utilisation très récurrente de points d’héroïsme pour lequel chaque joueur dispose de tout un panel d’options tactiques. Sans être innombrables, les points se renouvellement régulièrement et leur usage judicieux sera un des principaux enjeux des combats, poursuites et autres conflits en jeu. Un principe qui devrait ravir tous les ludistes amateurs de combo habiles.

    Les plus narratifs d’entre vos joueurs seront eux séduits par l’un des principes qui commandent à l’obtention de nouveaux points d’héroïsme : lorsque le PJ est susceptible de subir un échec critique, le final cut reste dans BoL au joueur. Soit le joueur choisit d’éviter le critique à son PJ et ce dernier ne subit alors qu’un « simple » échec automatique, soit le joueur assume la complication que subira son personnage et celui-ci, en échange, reçoit un point d’héroïsme qui, à coup sûr, lui sera utile pour se sortir ultérieurement de cette panade. Non seulement, comme on le voit, ce système génère des péripéties tout en donnant des moyens aux PJ de les surmonter mais il protège aussi les joueurs contre l’arbitraire du hasard : même si ce n’est vraiment pas votre soirée aux dés, vous n’aurez pas à subir une demi-douzaine d’échecs critiques d’affilée.

    Là, les experts qui connaissent déjà BoL première version vont fatalement m’arrêter : bon, OK, mais tout ça, c’est déjà ce qui existait, non ?

    Dans les grandes lignes, si.

    En même temps, on vous avait prévenu : ce n’est pas vraiment une v2. Les règles ont été légèrement lissées et débuggées mais rien de révolutionnaire.

    Cela dit, la pagination a plus que doublé et cela doit bien s’expliquer, non ?

    On passera rapidement sur l’ajout de règles de combat de masse ou de combat naval qui, i elles sont intéressantes, ne correspondront qu’à certains types de campagne ou styles de jeu.

    Non, en fait, de plus en plus, et comme son nom l’indique, Barbarians of Lemuria devient un véritable univers de jeu. Loin de jeux ultra dépouillés comme par exemple On mighty thews, BoL fait plus que jouer avec les codes de la sword & sorcery à la Conan supposés connus de tous et propose un univers de jeu s & s clefs en main.

    A l’origine, pourtant, le jeu se contentait de prendre les romans de Lin Carter (le cycle de Thongor) comme toile de fond mais, plus le jeu se rapprochait d’une édition publique, plus il prit ses distances avec ces références pour devenir un univers toujours typé sword and sorcery mais autonome.

    Cette partie univers occupe environ la moitié de la pagination. Elle comporte un atlas succinct, un topo sur les dieux et la magie mais, surtout, il faut bien l’avouer, par un bestiaire copieux d’une soixantaine de créatures souvent originales (avec toutefois une forte représentation d’hommes singes velus et déraisonnablement dotés par la nature en matière d’organes reproductifs).

    Pour mettre tout ça en œuvre, le livre vous propose pas moins de 5 aventures (il est vrai assez courtes) ainsi qu’un générateur de sagas (à base de tables aléatoires, donc). Complet.

    Nous voici arrivé au bout du sommaire de cette édition « mythic » et pourtant, nous n’en avons toujours pas dit l’essentiel. Non, ce qui justifie la hausse de la pagination et l’achat impulsif de ce livre de JdR, c’est avant tout que… c’est un putain de beau bouquin, bordel !!!

    Pour moins de 30 euros (oui, Monsieur) et sans être jamais passé par le moindre foulancement, Ludospherik propose un bouquin épais, bien fini, avec papier glacé de belle qualité et, surtout, illustré de plus de 100 dessins originaux (y compris du pleine page – voir ci-dessus) signés Manu Roudier, l’illustrateur de son propre jeu Würm et de nombreuses BD. Un vrai miracle, par Crom !

    De fait, au niveau de la forme, des choix devenus atypiques mais finalement raisonnables ont été faits. La couverture est souple (à rabats). L’intérieur est tout noir et blanc (qui a compris à quoi servaient ces fonds de page en couleurs dégueulasses de toutes façons ?). Il n’y a pas de « gadgets » genre posters, jeux de cartes, hache à deux mains en mousse, etc. livrés avec. Le budget va à de l’utile (par exemple, les illustrations du bestiaire, très abondantes et magnifiques).

    Bien sûr, on occultera pas le fait que le projet est porté par un acteur lui aussi atypique (une boutique en ligne) et semble être plus un one shot de passionnés (Manu Roudier nous avouait lui-même avoir fait des concessions sur ses tarifs compte tenu de son amour pour le jeu : http://lefix.di6dent.fr/archives/790) qu’un buiness plan reproductible.

    On suivra donc de près les prochains projets de Ludospherik, à commencer par le suivi désormais promis pour BoL. En effet, un écran du MJ en 3 volets à l’italienne accompagné d’une grande carte couleur de la Lémurie devrait voir le jour. Il y aura aussi, comme il se doit, un livret avec plein de trucs dedans (une campagne ?).  Tout cela est attendu pour le second semestre 2017. Miam !

    http://www.ludospherik.fr/


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  • La vache, la mention "novembre 2015" sur la couvrante m'a fait frissonner d'effroi mais bon, le plus important, c'est quand même que la bête soit désormais incarnée en bel et bon papier, pas vrai ?

    Donc, le voilou, le fameux numéro maudit de Di6dent. On peut dire qu'il a belle allure, d'autant plus que cela faisait quand même un bail que, du coup, je n'avais pas eu le plaisir de feuilleter un numéro papier du mook.

    Allez, c'est parti pour quelques clichés qui montrent indifféremment des choses made in MeC et d'autres pas du tout. L'idée étant dans tous les cas de vous rappeler à quel point c'est bon, à quel point c'est beau, un numéro de Di6dent ;-)

    Alors, si tu es convaincu, n'oublie pas, ami lecteur, d'acheter tout ça chez ton crémier préféré, en dur ou en ligne. Tous les renseignements ici : http://www.di6dent.fr/

    Enfin le feuilletage de Di6dent #13 !

    Une couvrante sombre, c'est vrai mais les malédictions, tout ça, tout ça, c'est pas Jo le rigolo non plus.

    Enfin le feuilletage de Di6dent #13 !

    Un Panda un peu spécial puisque consacré à un mag' et non à un jeu : Casus Belli 2. La rubrique est aussi beaucoup plus longue que d'habitude avec un travail de collecte d'infos auprès des témoins de la rédaction de l'époque, etc.

    Enfin le feuilletage de Di6dent #13 !

    Macbesse reprend pour ce numéro la rubrique A saisir en nous parlant d'un jeu qui joue avec l'Histoire : Night Witches. Très intéressant.

    Enfin le feuilletage de Di6dent #13 !

    Sanne continue de nous parler des trucs sérieux avec cette fois-ci la pratique du jdr en entreprise. Et non, ça ne parle pas de ceux qui jouent via Roll20 discrétos depuis leur lieu de travail...

    Enfin le feuilletage de Di6dent #13 !

    Brand nous propose une nouvelle rubrique de jeuderôlogie qui, bien sûr, ne mange pas de pain. Nous, en tout cas, on n'en laisse pas une miette.

    Enfin le feuilletage de Di6dent #13 !

    Là, on aborde notre théma avec, comme il se doit, un panorama un peu spécial (plus éclaté, moins exhaustif du fait d'un thème un peu atypique) très bien mis en images par J2J.

    Enfin le feuilletage de Di6dent #13 !

    Ce n'est pas parce qu'on le voit moins dans le paysage rôlistique francophone qu'il n'a pas des choses à dire : Willy Favre règle ses comptes et maudit quelques éditeurs de sa connaissance sur plusieurs générations.

    Enfin le feuilletage de Di6dent #13 !

    Un article du théma qui en impose rien que par son titre, pas vrai ? Nous disions donc : une moule-frites, une tartine de pain, un café et l'addition pour la 13 !

    Enfin le feuilletage de Di6dent #13 !

    Un autre morceau de bravoure : un nouveau scénario générique signé Benoît Attinost faisant suite au précédent, déjà paru en nos pages. Une nouvelle leçon d'écriture de scénario de format classique.

    Enfin le feuilletage de Di6dent #13 !

    Notre "gros morceau" du #13 n'est pas si gros (mais attendez celui du #14, tiens...) mais est joliment occupé par un scénario Wulin signé de l'auteur du jeu et joliment illustré par les soins d'un auteur de BD. Classe !

    Enfin le feuilletage de Di6dent #13 !

    Un scénario à pas mal  de mains qui contient notamment du MeC (oui, oui, même du David !) et du Macbesse : un gros scénario Rêve de Dragon agrémenté d'une interview de Jidus, l'auteur de A la Clairefontaine. RDD rulez !

    Enfin le feuilletage de Di6dent #13 !

    On finit par la page d'annonce de notre prochain théma : jdr et politique.

    Quelques mots sur ce #14 d'ailleurs : si ce n'est pas encore parfait, on peut dire quand même que les choses vont mieux et qu'on est en train de boucler les textes de ce prochain numéro. Cela veut dire qu'il reste du boulot de finitions, relectures, sans parler de toute la partie graphique mais les choses avancent quand même plus vite que... bref, quand elles allaient plus lentement. Et, croyez-moi, ce #14 contiendra quelques morceaux de bravoure dont on vous reparlera ici même sans trop tarder.


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  • Oups, j'ai tant perdu l’habitude de déposer mes trucs dans ce bon vieux blog (Facebook m'a tuer) que je me rends compte que je n'ai même pas fait de feuilletage maison de la version papier du dernier Di6dent en date : le #12.

    Oui, alors, d'accord, ami fidèle, tu l'as déjà car tu es un type bien mais je pense au béotien (j'ai découvert à ma grande surprise qu'il y en avait plus que je ne pensais même chez les rôlistes les plus expérimentés... m'enfin bref) qui ignore, pauvre fou, ce qu'est ce mook et que, oui, on peut même le commander en version papier. Chez ton magasin de jdr si tu es chanceux. Sur les Internet si tu habites dans une agglomération de moins de 500 000 habitants. (soupir)

    Allez, zou, feuilletons, mes bons (mais pourquoi je dis ça, moi ? :-/).

    Tant qu'à faire, j'ai essayé de mettre des photos qui feront des focus différents d'un précédent article où je parlais de la version PDF du mag'.

    Outtabox : Di6dent #12

    Humour. Noir.

    Oué, rappel quand même : l'humour en jdr, c'est le théma de ce numéro.

    Outtabox : Di6dent #12

    A gauche, nouvelle présentation/forme pour nos avis subjectifs à nous qu'on a au sein de la Redac6on. A droite, le Vox Populi du jour qui se propose de débattre sur la pertinence d'un nouveau D&D.

    Outtabox : Di6dent #12

    Une pointure de la littérature de fantasy se confie sur son trouble passé de rôliste.

    Outtabox : Di6dent #12

    Ah tiens, les Panda, c'est joli mais un petit cafard tout mignon, c'est bien aussi, non ? Dans cet article, pourquoi le très bon Vermine n'est plus joué que par 0.2 % de la population rôliste.

    Outtabox : Di6dent #12

    Là, le thème de cette rubrique récurrente, c'est de nous présenter un jeu VO qui gagnerait à faire l'objet d'une VF. On prend 10 %, de rien.

    Outtabox : Di6dent #12

    Romain a bien remodelé ses inspis et consacre un portrait bien étoffé sur les romans de l'éditeur Trash. Tout est dans le nom. Sans doute une inspi pour les moyens d'investigation habituels de quelques joueurs que je connais...

    Outtabox : Di6dent #12

    Une partie de l'interview que j'ai menée auprès de Franck Plasse et Sébastien Célerin à propos des serious games et de leur éventuelle parenté avec les jdr ludiques.

    Outtabox : Di6dent #12

    Un petit essai que j'ai commis dans le cadre du théma : pourquoi les jdr pas drôles nous font quand même rire ?

    Outtabox : Di6dent #12

    Outtabox : Di6dent #12

    Deux photos pour le prix d'une car je ne résiste pas à l'idée de vous faire envie devant la qualité du travail graphique mené par J2J. Ah, c'est sûr ça nous change de [censuré]. Quoi ? Non je n'ai pas dit JDR Mag'...

    Outtabox : Di6dent #12

    Encore du chouette matos officiel signé de l'auteur : là, du City Hall par Laurent Devernay.

    Outtabox : Di6dent #12

    Ah mince, mon doigt a rippé sur l'appareil photo. Bah, je sais pas qui est ce type mais il doit être important puisqu'il est interviewé et pris en photo dans les pages de Di6dent.

    Outtabox : Di6dent #12

    Encore une belle recherche graphique pour lancer un scénario Polaris. Oui, oui, celui qui fait glou-glou. Et après ça on risque encore de se faire traiter de hipsters pédants sur notre quant-à-soi ?

    Outtabox : Di6dent #12

    Alors, ce numéro 13, il sera maudit ou pas ? Aha, suspens.

    En attendant, ami lecteur, fidèle soutien à la cause, n'oublie pas d'aller commander ton exemplaire papier.

    http://www.di6dent.fr/

     


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  • Le voilà, il est encore plus beau qu'avant, il sent bon l'encre fraîche, c'est le Di6dent #11 en version papier.

    Je ne reviens pas sur les questions de retard, de numéro décalé, de demi-changement de saison (graphiquement, oui, d'un point de vue rédactionnel, non). Concentrons-nous plutôt sur le concret et ce qui fait plaisir : ce numéro est bel et bien là en version papier et ça, dans la presse rôliste, quoi qu'on en dise, ça reste un petit miracle permanent.

    C'est parti pour le feuilletage de cet enfant prodigue.

    Le outtabox du Di6dent #11

    Donc, le nouveau design de la couverture pour la saison 3 de votre mook préféré. Je suppose que Ju a laissé parler ses plus virils instincts avec cette jolie jeune femme dont les lèvres s’entrouvrent sur demande pour... non, en fait, on ne veut pas le savoir ! 

    Le outtabox du Di6dent #11

    Je vous préviens : il n'y a pas bézèf' de notre plume à David et moi dans ce mook donc il ne faut pas laisser passer les occasions quand il y en a. C'est le cas ici avec le Match (le dernier !) pour lequel j'ai lâché les chevaux afin de distinguer les différents records du crowdfunding rôliste francophone. Un article qui a l'air fun mais qui, mine de rien, a nécessité un paquet de recherches statistiques.

    Le outtabox du Di6dent #11

    Un must de ce numéro avec l'avant-première de Americana. Yno nous présente en effet sa prochaine publication (chez John Doe) sur plusieurs pages. Prometteur.

    Le outtabox du Di6dent #11

    Une autre rubrique que j'aime bien : celle sur les niches et les chapelles du jdr. Dans ce numéro, guillaume nous parle de ces êtres très étranges qui prétendent se passer de règles. Au bûcher !

    Le outtabox du Di6dent #11

    Un autre must que l'on retrouve un numéro sur deux (à cause du boulot nécessaire) : le Rôle over the world. Tiens ? Mais à quel pays celui-ci peut-il bien être considéré ?

    Le outtabox du Di6dent #11

    Une page entière sur l'Oeil Noir ? Non, vraiment, je sèche...

    Le outtabox du Di6dent #11

    Mon grand œuvre sur ce numéro, comme souvent, est le panorama du théma consacré aux jeux jouant avec le secret.

    Le outtabox du Di6dent #11

    Un autre morceau du théma, cette fois-ci proposé par le hot prospect de la Redac6on, Macbesse. Un article consacré aux jeux à secret sans secret. Cherchez pas, c'est secret.

    Le outtabox du Di6dent #11

    Ah ! Un autre must. Vous pensez que les scénarios écrits d'avance, un poil linéaire et tout, c'est has been ? Prenez le temps de lire cet opus de Benoît Attinost. C'est beau, c'est simple, ça donne tout de suite envie de jouer. Sans trop dévoiler le truc, sachez que c'est un scénario sans système dédié lié au théma avec des hommes en noir, de sombres secrets et un type peu recommandable. Et le plus beau, c'est que Benoît envisage d'en publier la suite dans un autre Di6dent. C'est cadeau.

    Le outtabox du Di6dent #11

    Le scénario le plus réchauffé de l'histoire de Di6dent ! Entre le retard de Byzance 800 et le nôtre, le scénario fourni par le sympathique et prolifique Eric Dubourg pour son setting AdC historique sort enfin dans ce #11, ouf ! 'tain, on s'est même fait griller par Casus sur le coup, c'est dire ^^

    Le outtabox du Di6dent #11

    Mais, euh, qu'est-ce qu'il a Ju en ce moment, en fait ? En tout cas, si avec ça, on n'en vend pas des tonnes, zut quoi à la fin ^^

    Le outtabox du Di6dent #11

    Et pour finir, l'annonce de notre futur théma sur les jeux drôles. Morts de rire ?

    Eh, man, ça m'a trop donner envie de l'acheter là tout de suite maintenant !

    OK ---> http://www.di6dent.fr/


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