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  • La vache, la mention "novembre 2015" sur la couvrante m'a fait frissonner d'effroi mais bon, le plus important, c'est quand même que la bête soit désormais incarnée en bel et bon papier, pas vrai ?

    Donc, le voilou, le fameux numéro maudit de Di6dent. On peut dire qu'il a belle allure, d'autant plus que cela faisait quand même un bail que, du coup, je n'avais pas eu le plaisir de feuilleter un numéro papier du mook.

    Allez, c'est parti pour quelques clichés qui montrent indifféremment des choses made in MeC et d'autres pas du tout. L'idée étant dans tous les cas de vous rappeler à quel point c'est bon, à quel point c'est beau, un numéro de Di6dent ;-)

    Alors, si tu es convaincu, n'oublie pas, ami lecteur, d'acheter tout ça chez ton crémier préféré, en dur ou en ligne. Tous les renseignements ici : http://www.di6dent.fr/

    Enfin le feuilletage de Di6dent #13 !

    Une couvrante sombre, c'est vrai mais les malédictions, tout ça, tout ça, c'est pas Jo le rigolo non plus.

    Enfin le feuilletage de Di6dent #13 !

    Un Panda un peu spécial puisque consacré à un mag' et non à un jeu : Casus Belli 2. La rubrique est aussi beaucoup plus longue que d'habitude avec un travail de collecte d'infos auprès des témoins de la rédaction de l'époque, etc.

    Enfin le feuilletage de Di6dent #13 !

    Macbesse reprend pour ce numéro la rubrique A saisir en nous parlant d'un jeu qui joue avec l'Histoire : Night Witches. Très intéressant.

    Enfin le feuilletage de Di6dent #13 !

    Sanne continue de nous parler des trucs sérieux avec cette fois-ci la pratique du jdr en entreprise. Et non, ça ne parle pas de ceux qui jouent via Roll20 discrétos depuis leur lieu de travail...

    Enfin le feuilletage de Di6dent #13 !

    Brand nous propose une nouvelle rubrique de jeuderôlogie qui, bien sûr, ne mange pas de pain. Nous, en tout cas, on n'en laisse pas une miette.

    Enfin le feuilletage de Di6dent #13 !

    Là, on aborde notre théma avec, comme il se doit, un panorama un peu spécial (plus éclaté, moins exhaustif du fait d'un thème un peu atypique) très bien mis en images par J2J.

    Enfin le feuilletage de Di6dent #13 !

    Ce n'est pas parce qu'on le voit moins dans le paysage rôlistique francophone qu'il n'a pas des choses à dire : Willy Favre règle ses comptes et maudit quelques éditeurs de sa connaissance sur plusieurs générations.

    Enfin le feuilletage de Di6dent #13 !

    Un article du théma qui en impose rien que par son titre, pas vrai ? Nous disions donc : une moule-frites, une tartine de pain, un café et l'addition pour la 13 !

    Enfin le feuilletage de Di6dent #13 !

    Un autre morceau de bravoure : un nouveau scénario générique signé Benoît Attinost faisant suite au précédent, déjà paru en nos pages. Une nouvelle leçon d'écriture de scénario de format classique.

    Enfin le feuilletage de Di6dent #13 !

    Notre "gros morceau" du #13 n'est pas si gros (mais attendez celui du #14, tiens...) mais est joliment occupé par un scénario Wulin signé de l'auteur du jeu et joliment illustré par les soins d'un auteur de BD. Classe !

    Enfin le feuilletage de Di6dent #13 !

    Un scénario à pas mal  de mains qui contient notamment du MeC (oui, oui, même du David !) et du Macbesse : un gros scénario Rêve de Dragon agrémenté d'une interview de Jidus, l'auteur de A la Clairefontaine. RDD rulez !

    Enfin le feuilletage de Di6dent #13 !

    On finit par la page d'annonce de notre prochain théma : jdr et politique.

    Quelques mots sur ce #14 d'ailleurs : si ce n'est pas encore parfait, on peut dire quand même que les choses vont mieux et qu'on est en train de boucler les textes de ce prochain numéro. Cela veut dire qu'il reste du boulot de finitions, relectures, sans parler de toute la partie graphique mais les choses avancent quand même plus vite que... bref, quand elles allaient plus lentement. Et, croyez-moi, ce #14 contiendra quelques morceaux de bravoure dont on vous reparlera ici même sans trop tarder.


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  • Bon, puisqu'on est lancé, allons-y : parlons d'un autre projet qui concerne plus le (vieux) fan que l'auteur.

    Il ne vous aura sans doute pas échappé que c'est un peu beaucoup la mode des reboots des anciens jdr en ce moment, n'est-ce pas ? On ne jugera pas. J'apprécie le reboot de RDD, je contribue à celui (hypothétique) de Empire Galactique, j'en espère d'autres un jour (Miles Christi ? Athanor ?). Donc, bref, la poutre, le voisin, tout ça.

    Vous n'avez peut-être pas vu passer une info qui en annonce un de plus : celui de Maléfices ! Or, si vous suivez ce blog depuis longtemps, vous le savez : on aime au moins autant Maléfices que Rêve de Dragon ici, c'est dire ! Alors, let's talk about it comme on dit dans la langue de Sheridan Le Fanu.

    Pour le moment, on ne sait que très peu de choses sur ce reboot. Je récapitule :

    - c'est l'éditeur Arkhane Asylum (Sang & Honneur, Vampire...) qui s'en occupe

    - malgré le "prochainement" de rigueur, c'est pas pour tout de suite (pas de date annoncée, éditeur pas mal occupé avec ses autres projets - CF Loup-garou, etc.)

    - c'est doté d'un visuel sympa :

    Bon, pas de quoi s'exciter a priori.

    Mais.

    Je sais de source sûre que, au moins, les intentions de l'équipe d'Arkhane sont pures. Ces braves gens partagent une analyse commune avec les MeC : l'itération précédente de Maléfices a gâché le produit au point de lui faire perdre son sens d'origine. Et cette v4 voudrait ainsi revenir à l'esprit d'origine, celui des premiers temps du jeu. Sans pour autant se contenter de pure nostalgie et donc ne pas hésiter à ripoliner le tout. C'est bien simple : je n'aurais pas dit mieux.

    Ce n'est ni le temps, ni le lieu pour faire le procès de Maléfices 3 (j'ai déjà dit l'essentiel de ce que j'avais à dire sur le sujet dans un Panda de Di6dent) mais, pour faire simple, disons que cette édition menée par les défuntes Editions du Club Pythagore avait le tort principal de ne pas sentir le soufre. Du tout. Derrière un gros bouquin à la mise en page soignée mais austère, l'auteur principal de cette v3 cachait mal son obsession personnelle pour les jeux 100 % historiques (pourquoi pas ? les goûts et les couleurs...) oubliant que les amateurs de Maléf' avaient, eux, été élevés au bon goût de scénarios aussi fantastiques que Les brasiers ne s'éteignent jamais ou Enchères sous pavillon noir, par exemple. D'emblée, il y avait donc quiproquo. Les scénarios publiés et l'unique supplément n'ont jamais réussi à dissiper ce malentendu.

    Depuis, les EdCP sont rentrées en stase et Maléfices est retombé dans les limbes, après avoir sans doute plus perdu que gagné dans ce triste et rapide épisode de sa vie éditoriale.

    Désormais, l'espoir renaît pour ce formidable jeu et on a envie de dire aux gens de chez Arkhane : vous loupez pas, les gars ! C'est sans doute la dernière chance pour Maléfices de dissiper ce malentendu : non, Maléfices n'est pas un jeu pour vieux historiens austères. On compte sur vous !

     


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  • Tiens. Cela faisait longtemps qu'on n'avait pas parlé du travail des autres sur ce blog.

    Il est vrai que sous l'impulsion conjuguée de notre profil Facebook (où on se contente de poster désormais les nouvelles bouleversantes du style : "t'as vu  copain le nouveau jeu que j'ai acheté ?"), des pages de Di6dent et celles du défunt Fix (mais n'est pas mort celui qui...), on a perdu l'habitude de rendre compte de nos modestes coups de cœur, coups de gueule ou simples compte-rendus de lecture sur ce blog. Ce dernier se limite ainsi depuis quelques temps déjà à rendre compte de nos propres activités rôlistiques (sorties, contributions, conventions, etc.).

    Mais là, ce n'est pas pareil. Rêve de Dragon, bordel ! On touche au sensible. RDD a en effet été un de mes deux ou trois jeux "qui changent tout", ceux qui vous font percevoir différemment les possibilités du jeu de rôle ou tout simplement qui marquent d'une pierre blanche votre propre parcours rôlistique.

    Alors, vous pensez ! Une souscription pour relancer la machine à rêves, je ne pouvais pas passer à côté. C'est souscrit, reçu, lu, pas joué et je ne vais même pas vous épargner mon compte-rendu ;-)

    Pour éviter le pavé et tenter de coller à une forme plus web de CR de lecture, je vais me borner à donner mon point de vue à quelques questions qui, d'une part, s'avèrent très légitimes et, d'autre part, sont soulevées de droite et de gauche sur le web.

    1. A la Clairefontaine, c'est beau ?

    A ton avis ?

    Bulle de rêve

    Le travail du Scriptarium est en effet de toute beauté. Le livret est solide et élégant. L'auteur, Jidus, est aussi un illustrateur de talent. Enfin, les Grands Anciens, Florence Magnin (couv') et Rolland Barthélémy (intérieur) sont au rendez-vous et n'ont rien perdu de leur RDD's touch.

    On ergote pas mal de ci de là sur la colorisation des illus de Rolland Barthélémy. Alors, certes, on est habitué depuis Casus Belli et l'incarnation précédente de RDD de voir les crayonnés minutieux de Rolland en noir et blanc. Mais, honnêtement, est-ce moins beau en couleurs ? Non. C'est juste différemment. Et de toute façon, comment proposer une mise en page en couleurs sur papier glacé avec des illus noir et blanc ? Bref, c'est très bien comme ça : ça change.

    2. A la Clairefontaine, c'est inspiré ?

    Très. Et dans les deux sens du terme. Des fois, on croirait que Jidus est le fils de Denis Gerfaud. Ou, au moins, qu'il lui a emprunté son slip et ses chaussettes. Le début, notamment, avec la découverte de la cité du Second Age qui va bien, est de la meilleure veine gerfaldienne avec la poésie, les jeux de mot à bonne dose, les détails qui donnent envie d'y être, etc.

    Un grand plaisir de lecture.

    3. A la Clairefontaine, c'est canonique ?

    C'est ce qu'on lit un peu partout et que l'auteur lui-même concède aisément. Personnellement, je nuancerais un peu. J'ai trouvé que le scénario, tout en respectant, c'est entendu, la plupart des codes de RDD (comment pourrait-il en être différemment pour un tel retour ?) en livre une interprétation qui est propre à Jidus.

    On peut notamment relever deux points qui m'ont marqué à la lecture :

    - ça tatanne sévère ; bien sûr, Denis avait déjà commis des scénarios orientés baston comme L'oeuf de Psiluma mais là, c'est très marqué. Il y a un petit côté donj' même. Pour moi, cela n'a rien de péjoratif. L'outil Rêve de Dragon se prête bien à ça aussi alors pourquoi s'en priver ?

    - pour Jidus, le voyage d'un rêve à l'autre est très différent de chez le maître ; dans A la Clairefontaine, le voyage d'un rêve à l'autre est souvent réversible et peut se programmer presque aussi aisément qu'un saut hyperluminique dans un space op' (attention, sur ce point, à l'abus des brolutes rieuses qui devraient, à mon goût, rester anecdotiques... comme les tortemoques, quoi). Cela rappelle ce que Gerfaud avait esquissé dans une trop vite expédiée extension de commande sur le 4ème Age, L'Unirêve. C'est, à mon avis, très intéressant, très riche de potentiel. Mais pas du tout canonique.

    4. A la Clairefontaine, c'est jouable ?

    Bon, le fait que je ne l'ai pas fait jouer avant de poster cette chronique donne une idée de la réponse.

    D'abord, il y a ce qu'on lit un peu partout : il y a des passages plutôt tirés par les cheveux. Et c'est... vrai ! Franchement, plus d'une fois, je suis revenu en arrière pour me demander quel était le rapport entre ce que j'étais en train de lire et ce qui précédait. Alors, penser à l'effet que ça peut avoir sur un groupe à l'esprit embrumé par des volutes de mauvais café sur le coup de deux ou trois heures du mat', ça m'a un peu effrayé...

    De toute façon, pour avoir déjà essayé, je confirme : je ne peux plus jouer ou faire jouer avec les règles de RDD 2ème édition : trop lourd, trop daté, trop... euh... trop, quoi. On en revient à un truc bizarre : le Scriptarium vient quand même de sortir sans prévenir un scénario pour un jeu dont le précédent supplément datait de... 2001. Waow.

    5. A la Clairefontaine, c'est bien au final ou pas ?

    Si tu es un ancien de RDD et que tu ne l'as pas encore, tu devrais juste déjà être maudit sur plusieurs générations. C'est beau, c'est très bien écrit, c'est très minutieux (tous les plans, toutes les stats nécessaires y sont et tout), ce n'est pas cher... bref, il faut foncer. Au pire, tu auras de quoi t'offrir une lecture agréable et un brin nostalgique.

    Si, par contre, tu attendais l'occasion de découvrir le jeu ou de t'y mettre pour de bon, je ne sais pas si je peux conseiller le scénario. C'est au final très old school. Et tellement typé RDD que je en sais pas si on peut espérer entrer dans cet univers par cette porte.

    A titre personnel, je ne regrette donc pas du tout mon achat (qui plus est après un crowdfunding dans les règles - c'est suffisamment rare pour être souligné) car je pointe largement dans la première catégorie. J’ajouterais que, d'un point de vue éditorial, je ne vois pas trop comment le Scriptarium aurait pu ouvrir son entreprise de relance du jeu par autre chose qu'un scénario "hommage".

    Par contre, maintenant que c'est fait, j'espère que les gars vont ouvrir grand les portes et les fenêtres pour proposer autre chose. Hélas, la perspective de la réédition à l'identique des règles de la 2ème édition me laisse sur ce point assez sceptique.

    Et vous, vous en avez pensé quoi ?

     


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  • Oui, voilà révélé par le titre de cet article le portrait-robot de celui à qui je dois de m'avoir mis sur le chemin (encore long, certes) du jeu de rôle.

    (…)

     

    De quoi ? Meuh non, je ne parle pas de David, enfin !

     

    Non, en vérité, je vous le dis : tout ça, c'est la faute à Mickey.

     

    Je ne m'en suis rendu compte moi-même que tout récemment mais, oui, mon tout premier contact avec les récits interactifs, je le dois à mon abonnement au Journal de Mickey (je parle de mon enfance, là, hein ? Pas d'aujourd'hui).

     

    Oui, oui, avant mon achat du pack Empire Galactique en librairie, avant quelques lamentables parties de l’Oeil Noir, avant Détective Conseil, avant la customisation sauvage d'un Livre Dont Vous Êtes Le Héros en pseudo-partie de jdr, avant même mon 1er Livre Dont Vous Êtes Le Héros emprunté à mon extraordinaire bibliothèque de quartier (abonnée à Casus Belli, Jeux & Stratégie et ayant organisé expo sur le jdr et démonstrations)... avant tout ça, donc, il y a eu Le Journal de Mickey.

     

    A cette époque (pile le milieu des années 80), le jdr a le vent en poupe et son ersatz le Livre Dont Vous Êtes Le Héros encore plus. Ainsi, Disney entend faire coup double en surfant sur cette mode. D'une part en centrant son long métrage d'animation annuel sur les thématiques donjons et dragonnesques avec "Taram et le chaudron magique" qui, à ma connaissance, n'a pourtant guère rencontré le succès.

     

    Petit avec de grandes oreilles et une longue queue

     

    D'autre part, en publiant dans son Journal de Mickey une Bande Dessinée Dont Vous Êtes Le Héros prenant pour cadre cet univers gentiment medfan.

     

    Et donc, là, paf, cela arrive entre les pattes à bibi qui n'avait rien de mieux que les Playmobils jusqu'ici pour se raconter des histoires entre lui-même.

     

    Petit avec de grandes oreilles et une longue queue

     

    Dire que ce fut une révélation est un peu excessif mais je me rappelle distinctement avoir joué plusieurs fois l'aventure avec plaisir et, notamment, avoir bien kiffé le petit système pour gérer l'équipement avec des silhouettes en carton à découper (sac, épée, etc.). Je ne me rappelle évidemment pas des règles mais il y en avait suffisamment pour justifier l'usage d'un D6... à monter soi-même en carton. Durée de vie approximative : 1 h.

     

    Si, au-delà de l'ego trip, je vous parle de tout ça, c'est que cette bouffée de nostalgie a été permise par la découverte de cet excellent site : http://www.planete-ldvelh.com/

     

    C'est laid (car cela existe depuis 2004) mais là, je crois qu'on a tout mais vraiment tout ce qu'il y a à savoir sur le genre. Pour donner une idée de la précision du truc, on trouve même sur la fiche consacrée à mon fameux Journal de Mickey (voir lien ci-dessous) des photos du matos à découper. Ce qui me permet de me rappeler qu'il y avait ainsi un petit sac à dos en 3D dans lequel glisser ses pièces d'équipement.

     

    http://planete-ldvelh.com/page/mickey1757.html

     

    Bien sûr, on trouve aussi TOUT ce qu'il y a à savoir sur les LDVELH plus conventionnels. Cela m'a permis de retrouver quelques titres que j'avais particulièrement apprécié à l'époque. Je me rends compte d'ailleurs que j'ai vraiment été un gros, gros consommateur de LDVELH avant de me mettre au jdr.

    Par exemple :

    Petit avec de grandes oreilles et une longue queue

    http://planete-ldvelh.com/page/histoires7.html

    Môssieur Jean-Pierre Pécau quand même. Surtout, outre un système de gestion des raids, il y avait à la fin une annexe proposant de jouer le LDVELH à plusieurs avec un MJ/lecteur et des joueurs/auditeurs. Je 'lai fait avec des copains de l'époque. Techniquement, il peut donc prétendre au titre de première partie de jdr pour moi.

     

    Petit avec de grandes oreilles et une longue queue

    http://planete-ldvelh.com/page/sh22.html

    Môssieur Pierre Lejoyeux quand même. Dans la même collec', toute la série des Sherlock Holmes qui faisait combo avec ma pratique de Détective Conseil à la même époque.

     

    http://planete-ldvelh.com/page/voie4.html

    Beaucoup plus connu. Ce titre m'avait marqué à la fois pour les classiques prises d'arts martiaux et le fait que le scénario te plaçait à la tête d'une ville.

     

    Petit avec de grandes oreilles et une longue queue

    http://planete-ldvelh.com/page/car1.html

    Mon best. Seulement deux volumes mais l'univers assez rude et "adulte" de Car Wars avec évidemment un système de gestion de sa voiture et tout. J'avais adoré.

     

    Cela me donne bien envie de recollectionner quelques titres par ci par là.

     

    Alors si vous avez des titres qui sortent un peu de l'ordinaire (genre : pas Loup Solitaire) à me conseiller, n'hésitez pas !


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